«Combien faut-il de fois secouer mes grelots
Et baiser ton front bas, morne Caricature ?
Pour piquer dans le but, de mystique nature,
Combien, ô mon carquois, perdre de javelots ?
Nous userons notre âme en de subtils complots,
Et nous démolirons mainte lourde armature,
Avant de contempler la grande Créature
Dont l’infernal désir nous remplit de sanglots !
Il en est qui jamais n’ont connu leur Idole,
Et ces sculpteurs damnés et marqués d’un affront,
Qui vont te martelant la poitrine et le front,
N’ont qu’un espoir, étrange et sombre Capitole !
C’est que la Mort, planant comme un soleil nouveau,
Fera s’épanouir les fleurs de leur cerveau !»
credits
from Flétrissement,
released December 31, 2019
Letra: "La mort des artistes" de Charles Baudelaire (tomado de Les Fleurs du mal)
supported by 7 fans who also own “Spleen et idéal”
The dissonant bleakness of the first track is less weird and more hypnotic than on the second track. That's why I like it a little more. But both songs together make for an extraordinary experience and a journey to the arhythmically beating heart of darkness. mourner